Sauvegarde des derniers commerces

Halles-Dis

Soucieux de l’équilibre et de l’aménagement du territoire, le Val d’Ille a entrepris une démarche de maintien des derniers commerces alimentaires.

Histoire et but

Le mode d’intervention réside dans le financement des murs, la modernisation du fonds de commerce. Pour la location, un tarif privilégié est consenti à l’exploitant après une étude de rentabilité de l’activité.

Cette démarche volontariste a pour objectif de permettre aux personnes âgées et aux plus jeunes de réaliser les achats de première nécessité sur place. Dans un second temps la pérennité de ces commerces doit permettre d’accueillir une population nouvelle.

L’épicerie de Saint Germain sur Ille

Val d’Ille : marque déposée

Le secteur agricole n’est pas oublié dans les actions du Val d’Ille. La Communauté de Communes participe au recyclage des bâches plastiques, des emballages et des produits phytosanitaires. De plus, la Communauté avait fait protéger le nom “Val d’Ille” en le déposant à l’INPI.

Les cocos du Val d’ille

Le nom “Val d’Ille” peut être cédé à des agriculteurs de la Communauté de Communes pour vendre des produits fermiers et haut de gamme. L’agriculteur doit présenter un cahier des charges spécifiant la qualité des produits, le suivi sanitaire, le bien être de l’animal, la traçabilité de la nourriture…

Au vu du cahier des charges, le conseil de communauté pourra céder le logo “Val d’Ille”.

Une première expérience a été réalisée à Guipel. Aujourd’hui, on peut ainsi acheter des œufs baptisés les “Cocos du Val d’Ille”.

La cession du logotype a été acceptée sur les critères suivants : poules de race française, élevées au sol, alimentation sans OGM, sans colorant artificiel, couleur des œufs roux foncés, contrôle et suivi sanitaire.